De retour après une longue période d’absence sur mon blog.
Mais absence qui ne m’a pas empêché de noter les bons et
mauvais points dans l’évolution et le suivi de mes semis et plantations dans
mon jardin potager.
J’en veux pour preuve le suivi notamment de mes choux
d’hiver actuellement en plein développement.
Cette année, j’ai évité d’avoir trop de plants d’une seule
catégorie comme les choux de Bruxelles ou choux Brocoli. Mettre 6 ou 7 plants
qui donnent plus que ce dont j’ai besoin n’est pas satisfaisant.
Aussi j’ai opté pour 3 à 4 plants de chaque catégorie.
Choux rouges, Choux blancs (pommés), Choux de Bruxelles, et
Choux Brocoli.
Peut-être que l’année prochaine je chercherai d’autres
variétés, à voir….
Après avoir bien préparer ma planche et apporter un bon
engrais bio j’ai donc planté mes choux.
J’ai assuré un bon développement entre binage et arrosage
régulier malgré la sécheresse qui a sévi cette année.
La principale problématique pour moi a été de contrôler l’éventuel
développement de la piéride (ver) du chou néfaste à son développement qui se
développe en août, septembre voire en octobre juste après les plantations.
Pour essayer de rester dans mon principe de ne pas utiliser
d’insecticides, j’ai opté pour un traitement au savon noir.
Bien qu’un peu septique au départ, aujourd’hui, je pense
avoir eu un bon résultat. Mais cela nécessite beaucoup d’attention.
D’abord, utiliser un bon produit naturel (précisant une
utilisation en jardinage).
Préparer la solution pour l’utilisation en vaporisation (10%
de savon noir, soit 10 cl pour 1 litre d’eau).
Et surtout en plus d’une vaporisation par semaine (au moins)
surtout sous les feuilles là où le papillon est susceptible de pondre, ne pas
oublier de vaporiser après une pluie qui aura rincé les plants.
Enfin, malgré tout ça, vérifier régulièrement le dessous des
feuilles afin d’éviter quelques surprises. (Pour ma part j’ai eu, malgré tout
le soin que j’ai pu y apporter, à détruire une ou 2 pontes).
Profitez du traitement des choux pour faire idem sur les
plants de poireaux. Mais là, j’y reviendrai une prochaine fois.